Potemkine joue au puzzle: dans la redécouverte du cinéma américain des seventies qui semble se jouer dans la cinéphilie française depuis les années 2000, l’éditeur apporte avec Mikey et Nicky (1976) une des grandes pièces manquantes dans la mosaïque de cette décennie. Une époque où Elaine May fut l’une des rares réalisatrices à s’être imposées […]
Elaine May, cinéaste à réviser
En 1976, sous les dehors d’une chronique cassavetienne, la réalisatrice américaine orchestrait Mikey et Nicky, un règlement de comptes féroce avec les codes de l’amitié masculine.