L’arme fatale de Jacques Offenbach
A Lausanne, La Belle Hélène mise en scène par Michel Fau croque les dieux de l’Olympe et les héros de la mythologie grecque avec irrévérence dans une parodie cocasse de l’univers baroque.

Opéra bouffe
Mélodies et chœurs enlevés, inoubliables de peps et d’onomatopées comiques, calembours potaches et intrigues aussi farfelues que satyriques, le tout couronné par une orchestration dynamique et colorée. Avec à son actif un catalogue d’une bonne cinquantaine d’œuvres lyrico-bouffe, dont une vingtaine reconnues comme des parangons du répertoire de l’opéra-comique, Jacques Offenbach n’usurpe en rien sa réputation de père de l’opérette à la française. Et sa recette n’est jamais aussi efficace
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