Après les molosses, la fumée dans les lieux publics ou les Fêtes de Genève, le Genevois s’attaquera l’an prochain à la croissance, en cherchant à plafonner la population cantonale.
«Nous avons dépassé la limite au-delà de laquelle le développement du tissu économique ne contribue plus à améliorer les conditions de vie des citoyens», estime Jean Barth.
JEAN-PATRICK DI SILVESTRO