Le 21e festival Filmar qui débute ce vendredi témoignera de la vivacité du cinéma autochtone. De quoi offrir un tremplin à des œuvres en langue originale qui peinent à être vues sur leur propre continent.
L’arrivée d’un enfant. Moment clé d’une identité en reconstruction permanente. C’est
la trame de "HuaHua", l’étonnante introspection filmique
d’un couple amérindien d’Equateur. DR