Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Une présidence vénale

La politique étrangère de Donald Trump se retourne contre les intérêts des Etats-Unis.
Une présidence vénale
L’accord entre Trump et le président turc Recep Tayyip Erdoğan, par lequel il lui a donné le feu vert pour franchir la frontière syrienne et écraser les Kurdes, illustre parfaitement comment le président américain voit la politique étrangère. KEYSTONE
États-Unis

Un homme d’affaires dans un fauteuil de président. Le milliardaire Donald Trump dirige la première puissance mondiale comme une entreprise depuis la Maison-Blanche: en fonction du rapport coût-bénéfice. Le parrainage de l’Arabie saoudite? La promesse de milliards de dollars en retour. L’abandon des Kurdes syriens? Ils n’apportent rien aux Américains si ce n’est des problèmes. […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-