Entre Meyrin, Satigny et Vernier, de larges bâtiments industriels poussent comme des champignons. Un phénomène récent qui mêle croissance et spéculation immobilière.
«Beaucoup de sociétés de tailles diverses cherchent à s’installer dans ces zones», explique Mikaël Meyer, chef de projet à l’Office cantonal de l’urbanisme. CÉDRIC VINCENSINI