Quand les biais de genre tuent
Les accidents cardiovasculaires sont moins bien pris en charge chez les femmes. Une collégienne y consacre son travail de matu. La prise de conscience se concrétise dans la filière médicale.

Médecine
Malgré son image d’objectivité et de neutralité, la médecine n’échappe pas aux biais de genre. Une collégienne genevoise y consacre un documentaire remarquablement vulgarisé, Au Cœur du genre, centré sur la question des maladies cardiovasculaires. Elle est l’une des lauréates du Prix Emilie-Gourd 2019. Pour Zoé Harding, qui se destine à la médecine, «le droit d’être informées, soignées et d’avoir accès à des soins de qualité équivalents à ceux dont
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