Scène Jean-Luc Lagarce, prisonnier du passé A l’Orangerie, Nathalie Cuenet reprend Juste la fin du monde, pièce testamentaire de l’auteur décédé du sida, qui manie l’art de l’ellipse avec grâce. lundi 1 juillet 2019 Cécile Dalla Torre Pour cette reprise de la pièce créée l’an dernier, la metteure en scène Nathalie Cuenet maintient une tension remarquable au sein d’un clan familial formé autour de la mère, qui explose sous nos yeux après des années de non-dits. CAROLE PARODI Théâtre Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste