Défait lors du scrutin municipal du 31 mars, le parti du président Erdogan refuse de s’avouer vaincu. Il multiplie les recours recours, notamment à Istanbul, et dénonce un «coup électoral».
Dimanche après-midi, le Haut-conseil électoral donnait Ekrem Imamoglu, candidat du parti d’opposition souverainiste social-démocrate CHP,
en tête de l’élection municipale à Istanbul avec plus de 16 000 voix d’avance. KEYSTONE