Etrangement fascinant et volontiers méprisé, le monde du bodybuilding a inspiré des documentaires empathiques à David Nicolas Parel (Body, 2015) ou Denis Côté (Ta Peau si lisse, 2017). Il nourrit aussi le premier long métrage d’Elsa Amiel, convoqué au féminin comme toile de fond à une fiction. Véritable culturiste, l’imposante Julia Föry incarne Léa Pearl. […]
Une carapace de muscles
Avec Pearl, étonnant portrait de femme dans l’univers du culturisme, Elsa Amiel signe un admirable premier long métrage.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-