«Liberté et permis B pour Ayop»
Plus d’une centaine de personnes se sont rassemblées vendredi à Genève pour demander la suspension de la procédure de renvoi d’Ayop Aziz.

Asile
Les victimes de l’incendie des Tattes peuvent compter sur un soutien populaire important. Plus de cent personnes se sont rassemblées vendredi 19 octobre devant l’Hôtel de Ville à l’appel du collectif Perce-Frontières. Sous les fenêtres du Conseil d’Etat, il a été rappelé que la mobilisation citoyenne avait permis d’obtenir, à l’automne 2015, la suspension de la procédure de renvoi d’Ayop Aziz. Un sursis qui aura duré trois ans: le jeune
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour