Le mot de la traductrice

Raphaëlle Lacord évoque les défis de traduction que pose le texte d’Urs Mannhart, où l’immobilité du corps contraste avec une grande mobilité de la pensée. L’écriture, sinueuse, exprime cette évasion et l’immédiateté des sensations.
Le mot de la traductrice
BENJAMIN PÉCOUD

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