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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Les paradoxes de Spielberg

Tour de force spectaculaire et festival de pop culture, «Ready Player One», le nouveau long métrage du cinéaste américain, recèle un appréciable supplément d’âme en sous-texte.
Ado solitaire, Wade Watts (Tye Sheridan) mène sa quête du Graal dans l’univers virtuel du jeu Oasis, sous les traits de son avatar Parzival (Perceval). WARNER BROS
Hollywood

Voilà un demi-­siècle que Steven Spielberg, entre deux (ou trois) films «sérieux», tient son rang de seigneur du divertissement holly­woodien – des Dents de la mer aux Aventuriers de l’arche perdue, de Jurassic Park à Minority Report. Une fois de plus, Ready Player One vient le rappeler. Pour le moins ambitieuse, cette adaptation du roman d’Ernest […]

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