Un accord de paix source de violences…
L’accord de paix signé fin 2016 devait mettre un terme à la violence. Sauf que, selon le leader syndical Huber Ballesteros, le régime colombien n’a aucune intention de le respecter.

Colombie
Bien qu’il n’ait pas participé à la lutte armée, Huber Ballesteros se déplace en voiture blindée, toujours accompagné de quatre gardes du corps. Car l’accord de paix ratifié le 1er décembre 2016 entre le gouvernement et la guérilla des FARC1Les Forces armées révolutionnaires de Colombie-Armée du peuple (FARC-EP) ont été la principale guérilla ayant pris part au conflit. De retour à la vie civile, la formation est devenue le parti de la
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