Solidarité Un accord de paix source de violences… L’accord de paix signé fin 2016 devait mettre un terme à la violence. Sauf que, selon le leader syndical Huber Ballesteros, le régime colombien n’a aucune intention de le respecter. mercredi 28 mars 2018 Philippe Chevalier Le 27 janvier 2018, des supporteurs de la Force alternative révolutionnaire commune issue de l’ex-guérilla des FARC attendent en marge d’un meeting à Bogota. KEYSTONE Colombie Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste