A la Berlinale, échos inquiets d’une Afrique en mouvement
Dans les sections parallèles du festival, des cinéastes du Maroc, de RDC, du Cameroun donnent à voir les convulsions du continent.

Cinéma africain
Le Maroc est malade de ses vieux pères, de son patriarcat gérontocrate, semblent nous dire deux films présentés à la section parallèle du Forum de la Berlinale. Dans celui d’Hicham Lasri, 41 ans, Jahilya, les femmes sont violées, données en mariage à leur bourreau, enchaînées. Les hommes, s’ils sont pauvres ou jeunes, sont aussi humiliés. Le film suit une dizaine de personnages: deux jeunes amoureux qui mentent pour pouvoir se marier,
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour