Problème: le contrôle des documents se fait dans une petite salle informatique en présence d’autres candidats. Les situations précaires de chacun s’exposent à voix haute, tout comme les informations sensibles. Certains étudiants dénoncent un manque de protection de la sphère privée. C’est le cas de Patrick*, qui recourt à ce service depuis deux ans. Alors […]
Un manque de confidentialité pour les étudiants précaires
Le dispositif a de quoi décourager. Les étudiants de l’université de Genève qui souhaitent obtenir une exonération de leur taxe d’encadrement (870 francs par an) doivent présenter leur dossier aux gestionnaires du Pôle Santé Social.