On peut avoir deux palmes d’or sur sa cheminée et oser (à 75 ans) surprendre son monde au risque d’être incompris. Traîner une réputation (pas volée) de cinéaste revêche et avoir envie de s’amuser un peu. Après Le Ruban blanc (2009) et Amour (2012), deux chefs-d’œuvre d’affilée, Michael Haneke méritait bien une petite récréation. Elle se […]
Un affreux portrait de famille
Nouveau long métrage de Michael Haneke, «Happy End» compile les thèmes chers au cinéaste dans une farce cruelle.