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Le Courrier L'essentiel, autrement

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De la difficulté de porter plainte

Une femme témoigne de sa prise en charge éprouvante par la police après une agression.
La victime n'a pu porter plainte que dix jours après les faits (photo prétexte). JPDS
Police genevoise

«Les événements qui ont suivi mon agression ont été très éprouvants psychologiquement et émotionnellement. Heureusement que j’étais bien entourée par mes amis et ma famille, car sinon je n’aurais pas tenu le coup.» Sophie*, victime d’une agression en octobre dernier, à Genève, a été marquée par ses premiers contacts avec la police. Elle décrit pour […]

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