Solidarité Un tyran mort est un tyran de trop Longtemps après leur mort, le corps des despotes continue à provoquer controverses et batailles mémorielles. Un livre fait le point sur ce sujet peu exploré. dimanche 22 janvier 2017 Christophe Koessler Les criminels de masse n’ont généralement pas de sépultures publiques. Avec des exceptions notoires Sévane Garibian Histoire Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste