«Travail social en cage» peut-on lire sur une banderole accrochée aux murs du Sleep-In. L’association du même nom, qui gère la structure d’hébergement d’urgence de Renens, est fâchée. Mardi 28 juin, au lendemain du départ de la plupart des sans-abris occupant le jardin, la ville de Lausanne, propriétaire des lieux, a érigé des barrières de […]
Le Sleep-In refuse d’être enfermé
L’association d’accueil d’urgence est remontée contre les barrières érigées par les autorités, qui de surcroît nuisent à la sécurité. Un argument que réfute la municipalité de Lausanne.