Genève Une patrouille nie le monopole étatique de la sécurité Un professeur de sports de combat se mue en chef de patrouille chaque fin de semaine pour «lutter contre les incivilités». L’Etat désapprouve. jeudi 10 mars 2016 Florian Erard Pour Marco Garcia Gonneau Cédric Vincensini Genève Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste