Parti du foyer des Tattes, le collectif composé d’une quarantaine de migrants et de militants a d’abord frappé à la porte de l’église du Sacré-Cœur, sans succès, avant de se retrancher à la Maison des arts du Grütli. Du 15 juin au 2 juillet derniers, les requérants (des hommes célibataires et déboutés) ont dormi dans un couloir […]
Grütli: le cri des migrants sort de terre
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