Solidarité

On ne rit pas avec le bouddhisme

BIRMANIE • L’assouplissement de la dictature n’est pas toujours synonyme de libération de la parole: un procès pour blasphème, dont le verdict tombera mardi, témoigne de la poussée du fondamentalisme bouddhiste.
Des bonzes écoutent et applaudissent le moine U Wirathu RÉMY FAVRE

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné? Connexion

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-

Connexion