On n’a pas fini de digérer Black Up (2011), manifeste hip hop expérimental, psychédélique et à la poésie surréaliste, qui déjouait la plupart des conventions attachées au versant mainstream du genre. Le cerveau en ébullition d’où avaient jailli ces sons n’était pas celui de quelque hipster en mal de publicité. Il s’agissait d’Ishmael Butler, auteur […]
Ni Dieu ni maître
DISQUE • SHABAZZ PALACES, «LESE MAJESTY»