Visuellement sublime et froidement brutale, laissant d’emblée trois cadavres sur le pavé, la séquence d’ouverture donne le ton, implacable, de A Touch of Sin: une mise en scène magistrale, une ampleur épique, une violence qui survient sans crier gare dans un calme paralysant. Et ce n’est qu’un prologue qui annonce – en les reliant, on le comprendra […]
Qui sème l’injustice…
CHINE • «A TOUCH OF SIN» DE JIA ZHANGKE
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