En guise de titre, un simple prénom. Comme une évidence, à l’instar de Rosetta, pour un film entièrement voué à son personnage principal. Comme un mystère aussi, qu’il s’agira de percer. Celui-ci est d’ailleurs discrètement évoqué dès la séquence d’ouverture de Suzanne, où l’on découvre une fillette en robe à paillette sur la scène d’un […]
Une chanson pour Suzanne
Dans un second long métrage à la fois lyrique et réaliste, porté par un formidable trio d’acteurs, Katell Quillévéré retrace la trajectoire erratique d’une héroïne aussi insondable qu’attachante.