«J’aime les mots. J’aime surtout ceux qu’il est difficile d’aimer. Je pleure du mal qu’ils nous font. Les mots pleurent de nous avoir trompés.» C’est un violon timide qui souligne l’ouverture de Délivresse dans la pâle lumière de l’Orangerie. Le quatuor à cordes Barbouze de chez Fior, le contrebassiste Dragos Tara et le remarquable percussionniste […]
Ivresse, poésie et musique: postérité d’un désespoir
GENEVE • Au Théâtre de l’Orangerie, Roland Vouilloz prête sa voix au texte de Léonard Valette, sur une musique de Jean Rochat.