Prophètes du chaos
SWANS Les impressionnants New-Yorkais reviennent en terres romandes. Leur leader Michael Gira s’explique.

Que de chemin parcouru depuis les charges viscérales, cathartiques et sadomaso des albums Filth (1983) et Cop (1984). En trente ans de carrière – avec toutefois une interruption entre 1997 et 2010 –, les Swans ont imposé leur esthétique exigeante à un rythme stakhanoviste, balayant un large champ, du bruistisme industriel des débuts à la répétition immersive et quasi orchestrale du récent The Seer, empilement de sons et textures qui
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