Après les Chroniques de Bob Dylan et Life de Keith Richards, au tour de Neil Young de se lancer dans l’exercice autobiographique. Avec sa tignasse raide, ses chemises flanelle à carreaux, sa voix aiguë-nasale et son franc-parler, le Loner évolue depuis près d’un demi-siècle sur le versant terrien du rock, en perpétuelle réinvention sans tourner […]
Neil Young, moisson de souvenirs
Le Loner publie une volumineuse autobiographie qui passe en revue, avec trop d’ellipses, près de cinquante ans de carrière entre folk et de rock. Frustrant.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-