On se perd, dans le livre de David Collin, mais c’est voulu, car «le sage dit bien que c’est en quittant l’itinéraire qu’on finit par retrouver son chemin». Nous sommes donc quelque part dans le désert de Gobi, dans un «monde sans homme»: «Un tapis de pierres pulvérisées en fragments de poussière courait à l’infini, […]
Au cœur du labyrinthe
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-