La structure d’Alice, dernier roman de l’auteure allemande Judith Hermann, est intéressante et peu conventionnelle. Cinq textes indépendants, sans liens chronologiques, mêlant le passé et le présent, qui portent à chaque fois le nom d’un homme: Micha, Conrad, Richard, Malte, Raymond. Et à chaque fois, ces hommes sont en train de mourir ou sont […]
La mort et rien d’autre
ALLEMAGNE • Dans son troisième roman, «Alice», Judith Hermann entame un voyage sensible aux portes du trépas. Bouleversant.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-