Il faudrait être poète ou alors écuyer pour écrire convenablement au sujet du Cheval de Turin. L’auteur de ces quelques lignes n’étant ni l’un ni l’autre, il évitera au moins l’emploi abusif de qualificatifs dithyrambiques – qui lui brûlent cependant la langue – , d’autant que Béla Tarr lui-même, le soir de l’avant-première au cinéma […]
Le cocher de l’Apocalypse
Au bout du «Cheval de Turin», film ultime du Hongrois Béla Tarr, inexorablement, l’obscurité.

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