L’écriture avant le jeu, avant la performance, avant sa propre histoire: Angélica Liddell est auteure et sa façon d’écrire n’a rien d’une volte-face. Elle tutoie le pire de nous-mêmes avec urgence et, pour cela, use des mots comme d’ingrédients premiers auxquels elle rajoute la musique, les corps, la colère, la beauté. L’Espagnole, rencontrée au Festival […]
La chair comme une page blanche
ESPAGNE Au Festival de La Bâtie qui vient de s’ouvrir à Genève, deux pièces d’Angélica Liddell racontent la meurtrissure. Si elles crachent sur l’immonde, c’est entre rêve et vertige et sans contourner la tendresse.
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