A Genève, le phénomène serait marginal. «Nous n’avons eu qu’un seul cas de disparition au cours de ces deux dernières années», assure sans plus de précision Henri Roth, responsable de la communication de l’Hospice général. L’institution genevoise, qui s’occupe de la prise en charge des requérants d’asile attribués au canton, accueille en ce moment une […]
GENÈVE ÉPARGNÉ?
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-