C’est un vent frais et régénérateur qu’apporte l’attribution du prix Nobel d’économie1 2009, distinguant deux personnes en marge des théories dominantes néoclassiques. Les grincheux taxeront le jury de Stockholm d’opportunisme pour avoir successivement élu, après la crise avérée du néolibéralisme en septembre 2008, un néo-keynésien (Krugman) et un institutionnaliste (Williamson). La vraie bonne surprise concerne […]
Le Nobel d’économie: un bol d’air frais!
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