> Printemps 1999. La Dolce Vita ferme ses portes. Lausanne n’a plus de scène «live» dédiée au rock. > L’association «…e la nave va» concocte un projet de gestion de club associatif, tout en multipliant les concerts sauvages et discos de soutien. > Eté 2000. La Municipalité privilégie l’option d’un club privé, dirigé par Emmanuel […]
La fin de dix ans de galère…
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