«On m’a proposé un travail au noir dans un des plus prestigieux hôtels de Neuchâtel. Je devais travailler pour eux clandestinement pendant trois mois, avant d’avoir une chance d’être engagé», raconte Victor*, un requérant d’asile domicilié sur sol neuchâtelois. «J’ai refusé car je n’aime pas être dans l’illégalité et les conditions que l’on me proposait […]
Au noir dans un grand hôtel de la place
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-