Squatters et locataires, une cause commune
DROIT À LA PROPRIÉTÉ – Le seul recours au droit, en particulier au droit de propriété, n’est pas à même de régler les questions d’habitat et de vie culturelle et sociale, comme il ne résoudra pas non plus la crise du logement qui sévit à Genève. L’idée d’une ville plurielle, capable d’offrir à chacun un logis décent et durable, pourrait ainsi constituer une cause commune entre squatters et locataires. Mais cela suppose de vrais choix politiques.