John Carpenter est devenu un cinéaste humaniste (Ghosts of Mars), les excès visuels de David Cronenberg ont fait place à l’investigation psychanalytique (Spider) et, plus récemment, la subversion de John Waters s’est trouvée confite d’une utopie plutôt sucrée (A Dirty Shame). Depuis quelques jours, les allégories de George A. Romero, sont venues confirmer la tendance: […]
Morts et vivants se partagent les terres de Romero
Le dernier et très attendu volet de la tétralogie des zombies de George A. Romero opère un virage vers une vision moins pessimiste de l’humanité. Pour le bien du public?