La saga judiciaire des zadistes du Mormont et de leurs avocat·es continue. C’est au tour de Laïla Batou d’écoper de frais judiciaires pour avoir défendu des activistes «inconnu·es» aux yeux de la justice. Les deux zadistes sont condamné·es à deux et trois mois de prison ferme. Leur avocate, qualifiée de falsus procurator, doit s’acquitter de […]
L’avocate doit payer
Non reconnue par le tribunal, l’avocate Laïla Batou écope de frais d’arrêts de 1320 francs pour avoir défendu des zadistes qui n’ont pas dévoilé leur identité.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-