Une femme et son enfant à la frontière de la Macédoine, près du village grec d'Idomeni, en 2015. Les militantes de la Marche mondiale des femmes rappellent que l’impossibilité de s’exiler légalement n’empêche pas la migration, mais qu'elle entraîne la création de réseaux mafieux, particulièrement violents envers les femmes et d’autres groupes sociaux fragilisés. KEYSTONE