Une fin de règne en roue libre
Les appels au départ précipité du président se multiplient à deux semaines de la fin de son mandat. Tenu responsable de l’insurrection tragique au Capitole, le président sortant reste une menace.

États-Unis
Le Capitole n’a pas capitulé. Le cœur de la démocratie américaine s’est même remis à battre dans la nuit de mercredi à jeudi après la prise d’assaut par une marée de partisans de Donald Trump. Malgré son interruption, le décompte des voix électorales a scellé la victoire du nouveau président Joe Biden aux élections de novembre dernier. «Une victoire volée», a encore répété le milliardaire déchu, comme un mantra. Celui
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour