La zone frontière crie misère
L’économie du sud du Tessin pâtit du travail à domicile des frontaliers italiens.

Télétravail
En ville, les rues sont presque désertes. Le maire de Chiasso, Bruno Arrigoni, se dit «très inquiet»: l’absence des travailleurs frontaliers a un impact considérable sur le commerce local. Ici, l’économie tourne autour des services, indique-t-il. «Plusieurs entreprises, notamment dans les fintechs et les télécommunications, employant essentiellement des frontaliers domiciliés en Italie, se sont installées dans la commune ces dernières années. Certaines comptent plusieurs centaines d’employés.» Entre 5000 et 6000
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