Les hôteliers romands appellent à l’aide
Au bord du gouffre, la branche demande à l’Etat de passer en mode urgence pour la soutenir.

Coronavirus
«Je suis venue ici pour donner un exemple concret. Ce matin, j’ai fermé mon hôtel, il n’y a plus de client», a expliqué hier avec gravité Marie Forrestier, directrice du Bon Rivage à La Tour-de-Peilz et membre du comité exécutif d’Hotelleriesuisse. Pas moins de 85% du chiffre d’affaires sont perdus et les charges n’ont pas baissé. «Financièrement, c’est un gouffre. On grignote toutes les réserves. Il nous faut très vite
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