Marie-Claire Dewarrat, vieillir à l’avenir
En trois nouvelles comme autant de crépuscules futuristes, Marie-Claire Dewarrat écrit la mort en face. Caustique et critique.

La mort rôde. Alors il faut l’écrire, jusqu’à la toiser avec cette salutaire fierté des vivants. La mort rôde et partout son aile froide semble planer dans l’œuvre de Marie-Claire Dewarrat. Déjà au creux de L’Eté sauvage, recueil de nouvelles avec lequel elle faisait en 1985 une entrée remarquée en littérature. Puis surtout dans ce Carême d’un homme drapé de chagrin, endossant le deuil de son fils comme raison d’exister:
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