Scène

Jean-Luc Lagarce, prisonnier du passé

A l’Orangerie, Nathalie Cuenet ­reprend Juste la fin du monde, pièce testamentaire de l’auteur décédé du sida, qui manie l’art de l’ellipse avec grâce.
Jean-Luc Lagarce, prisonnier du passé
Pour cette reprise de la pièce créée l’an dernier, la metteure en scène Nathalie Cuenet maintient une tension remarquable au sein d’un clan familial formé autour de la mère, qui explose sous nos yeux après des années de non-dits. CAROLE PARODI
Théâtre

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