Pas de faveur pour les dénonciateurs
Après des années de tergiversations, le Conseil national va enterrer la loi sur les lanceurs d’alerte.

Entreprises
Il n’y a pas en Suisse de cadre légal explicite pour protéger les lanceurs d’alerte (whistleblowers) du secteur privé. L’employé qui dénonce les pratiques répréhensibles de son entreprise risque gros. Non seulement son emploi est menacé, mais il peut aussi être traîné en justice pour violation du devoir de fidélité envers son employeur. Cette situation ne va pas changer de sitôt. En guise d’ouverture de la session d’été des Chambres
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