Conçu à une époque où les étés caniculaires tenaient de la science-fiction, le vénérable Musée d’art et d’histoire (MAH) transpire désormais à grosses gouttes – il est régulièrement contraint, en juillet-août, de fermer certains espaces. Avec l’exposition «Theatrum Mundi», les salles palatines bénéficient toutefois d’une microclimat favorable: d’une esthétique glaciale, les œuvres présentées font parfois regretter […]
AES+F, l’art qui venait du froid
Au MAH, avec son univers inspiré des canons mondialisées autant que
de l’art renaissant, le collectif russe fascine. Sans toujours convaincre.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-