L’hydre du trafic de cocaïne
La mobilité des trafiquants de cocaïne et leurs réseaux supranationaux compliquent la tâche des policiers chargés de les porter devant la justice.
«Le marché de la cocaïne, c’est une hydre: si l’on en coupe une tête, une autre repousse», illustre Pierre Esseiva, de l’Ecole des sciences criminelles (UNIL). Il estime que les forces de l’ordre ne parviennent à retirer que 10% de la cocaïne en circulation dans le pays. «Tant qu’il y a une demande, l’offre suivra», déclare-t-il avec fatalisme. L’extrême mobilité des trafiquants ne facilite pas la tâche des forces de
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